Quand on arrive à Fleury, on est frappé par la taille de la bâtisse et par son harmonie architecturale remarquable créée par ses alternances de pierres et de briques.

Aussi, le château est un ensemble esthétique parfaitement bien ordonnancé : plusieurs atmosphères, plusieurs influences historiques. On pénètre dans le château en passant par la poterne datant du XVIIème siècle ou pavillon d’entrée et ses deux grands oculus qui structurent l’ensemble. Dans la cour d’honneur, quadrillée de parterres verdoyants, le regard est directement attiré vers l’imposant logis principal et son nombre impressionnant de fenêtres. Seule l’aile droite est encore visible et est tout aussi majestueuse. L’ensemble paraît comme flottant sur des douves sèches.

La cour d’honneur est très large et peut donc servir aisément de set-up et de plateau pour les tournages à grande échelle.

Deux tours, l’une ronde et l’autre carrée, ponctuent ce cadre supportant le château et sont séparées des communs par un pont dormant. Ces derniers sont toujours présents et peuvent également servir de décor ou accueillir les équipes techniques. La perspective qu’offre l’ensemble est assez remarquable et est idéale pour différents angles de prises de vue.

Le parc du château est vaste et ombragé et les bassins et pièces d’eau sont impressionnants par leur taille. Le grand canal y donne une atmosphère des plus romantiques ainsi que le plan d’eau principal qui forme un large miroir inspiré du bassin de Neptune à Versailles. Le pavillon de la fontaine rappelle les grottes et nymphées et offre un charmant cadre et une symétrie parfaite avec le grand canal.